Du 07 au 08 mai, la salle de réunion du SPONG a été le théâtre d’une session de formation cruciale pour 30 jeunes membres d’organisations de la société civile (OSC) sur la finance climat. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet Benkadi Burkina Faso, dont le rapport de l’étude de base a révélé une faible implication des jeunes dans les actions climatiques. Ce manque d’engagement est attribué, entre autres, à une insuffisance d’informations, une non-appropriation du concept de changement climatique et une méconnaissance des textes, politiques et programmes environnementaux et climatiques.
Cette formation a été assurée par deux spécialistes de renom : GANGO Jean-Paul, Inspecteur des Eaux et Forêts et Chef de service de la Gouvernance de l’Economie Verte, et M. LOUGUE, Directeur Exécutif de la Coordination Nationale des Jeunes pour l’environnement et le climat Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet Benkadi Burkina Faso, dont le rapport de l’étude de base a révélé une faible implication des jeunes dans les actions climatiques. Ce manque d’engagement est attribué, entre autres, à une insuffisance d’informations, une non-appropriation du concept de changement climatique et une méconnaissance des textes, politiques et programmes environnementaux et climatiques.
Animée par deux experts, GANGO Jean-Paul, Inspecteur des Eaux et Forêts et Chef de service de la Gouvernance de l’Economie Verte pour les questions des changements climatiques, et M. LOUGUE, Directeur Exécutif de la Coordination Nationale des Jeunes pour l’environnement et le climat, cette session a permis de présenter les opportunités de financement existantes, d’outiller les jeunes pour le montage de projets climatiques et de les informer sur les modalités d’accès aux ressources du programme de micro-financement du FEM.
Les participants ont salué la qualité de la formation. Kafando Djouaritou, de l’Association des Jeunes pour l’Ecologie et le développement endogène et participatif au Burkina Faso, a exprimé son enthousiasme : « La formation a été très enrichissante pour moi. J’ai compris qu’il est quasi impossible de lutter directement contre les changements climatiques, mais qu’il est possible de travailler pour une meilleure adaptation. Je suis désormais aguerri quant à la constitution de dossiers de financement sur le climat et avons été édifiés par les orientations reçues sur la base de données des potentiels partenaires financiers. »
Cette session de formation marque une avancée significative dans le renforcement des capacités des jeunes OSC au Burkina Faso, les équipant pour contribuer activement à la lutte contre les effets néfastes des changements climatiques.