À propos Benkadi Côte d'Ivoire

Créée en 2005, la Convention de la Société Civile Ivoirienne (CSCI) est une faîtière d’organisations apolitique, laïque, non régionaliste, non raciale et à but non lucratif dont l’objectif général est d’influencer les processus politique, économique et social pour le bien-être des populations résidant en Côte d’Ivoire. Sa mission vise ainsi à promouvoir l’Etat de droit, la bonne gouvernance, les droits humains, la démocratie participative et inclusive.

La CSCI et quatre plateformes d’ONG de la sous-région ouest-africaine, que sont la Plateforme de Contrôle Citoyen de l’Action Publique (PASCIB) au Bénin, le Secrétariat de Concertation des ONG nationales au Mali, (SECO-ONG) et le Secrétariat Permanent des ONG (SPONG) au Burkina Faso, mettent en œuvre, en partenariat l’organisation hollandaise Woord en daad, le programme intitulé « BENKADI » et financé par le Ministère des Affaires Etrangères des Pays-Bas pour une période de 5 ans.

En Côte d’Ivoire, le projet Benkadi est intitulé : Projet de Plaidoyer pour l’amélioration des politiques publiques sur le changement climatique en vue de l’atténuation et de l’adaptation des populations vulnérables aux effets de l’érosion côtière et de la dégradation des aires protégées ».

Son objectif stratégique est d’améliorer la résilience des groupes vulnérables aux conséquences des changements climatiques, spécialement les femmes, les jeunes et les personnes avec un handicap. Le projet prend en compte l’amélioration de l’espace civique dans le pays en matière de dialogue avec les pouvoirs publics.

En Côte d’Ivoire, le projet met l’accent sur deux principales problématiques : -L’atténuation et l’adaptation aux effets de l’érosion côtière des populations riveraines au sud du pays ; -La préservation de 7 principales aires protégées faces aux agricultures extensives dans le District d’Abidjan et dans les 10 régions suivantes : Tchologo, Bounkani, Hambol, Marahoué, Tonkpi, Cavally, Guémon, Bafing, Worodougou et Grands Ponts    

Principales cibles

  • Les communautés vulnérables, notamment celles vivants sur le cordon littoral ou à proximité des aires protégées ; les organisations de femmes, de jeunes, les chefs religieux, les chefs traditionnels, les personnes en situation de handicap (PSH), les pêcheurs, les mareyeuses, les personnes travaillant dans l’agro-industrie et le tourisme, et le BTP, etc.

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